We would like to share with you two just-issued OIOS audits on the UN Pension Fund.
The first audits a $2.2 million procurement contract with consulting firm PriceWaterhouse Coopers (PWC) and notes that of the total, $1.8 million was not spent on services specified in the contract. Thus costs could have been inflated due to lack of competitive bidding for the $1.8 million of services and greater use of $475 an hour partners. It appears that procurement rules may also not have been followed.
The second audits the implementation of a new payment system called IPAS, whose poor implementation left newly retiring staff with no income for up to nine months. It notes that a number of important elements with IPAS, including relating to the calculation of payments for widows and orphans, were noted as critical, even as the system was reported to the Board and external stakeholders as being ready to implement. It could be argued that given these issues were known prior to implementation, they should have been addressed, which would have to a large extent avoided the payment backlog.
UN Secretary-General António Guterres has been requested by the Pension Fund Board to extend the contract of CEO Sergio Arvizú by three years. Given this new information, we have asked Mr. Guterres to seriously consider whether an extension would be in the interests of ensuring management accountability at the UN.
This article from Passblue is also worth reading.
We plan to organize a townhall on Pension Fund issues in early December, where we will inform you further on steps we are taking to improve governance at our Pension Fund.
Nous aimerions partager avec vous les résultats de deux audits menés par l’OIOS en relation avec la Caisse des pensions.
Le premier audit (en anglais seulement) concerne un contrat d’achat d’une valeur de 2,2 millions de dollars signé avec la firme “PriceWaterhouse Coopers” (PWC).Cet audit a montré que la somme de 1,8 millions de dollars n’a pas été dépensée en contrepartie des services mentionnés dans le contrat. Par conséquent, les coûts pourraient avoir été gonflés en l’absence d’un appel d’offres concurrentiel et du recours aux services de partenaires payés 475 dollars de l’heure.
Le deuxième audit (en anglais seulement) concerne l’adoption du nouveau système de paiement appelé IPAS, dont l’introduction inadéquate a laissé un nombre de nouveaux retraités sans revenus pendant plusieurs mois. L’audit montre qu’un nombre important d’éléments de l’IPAS n’étaient pas prêts (comme le calcul des indemnités pour les veufs et orphelins) et malgré cela le système a été présenté au Comité mixte (conseil d’administration) et aux parties prenantes externes comme étant prêt à être introduit. Il est fort probable que si ces questions avaient été traitées en avance, l’on aurait pu éviter, dans une large mesure, le retard dans le versement des indemnités.
Le Comité mixte a demandé au Secrétaire général, M. António Guterres de renouveler le contrat de l’Administrateur de la Caisse, M. Sergio Arvizú pour trois ans. Suite à cela, nous avons demandé au Secrétaire général de revoir de près si un tel renouvellement allait dans le sens de l’obligation redditionnelle des fonctionnaires de l’ONU.
Nous vous encourageons à lire cet article (en anglais seulement) publié dans “Passblue”.
Nous avons l’intention d’organiser une réunion générale sur la questions relatives à la Caisse des pensions courant décembre. Cette réunion sera l’occasion de vous informer des mesures supplémentaires que nous envisageons d’adopter pour améliorer la gestion de la Caisse.