Following our earlier broadcast we would like to confirm that a second day of strike will take place this Friday 23 March.
We invite you this time to come in large numbers to the following gatherings:
- Picket lines from 8 to 10 a.m. at Pregny, Chemin de fer and Nations gates;
- Celestial Globe at 10 a.m.
- Meeting in Room 18 at 2 p.m. During this meeting, updates will be provided on the ICSC’s session in New York (see below). Coffee and tea will be offered.
Tomorrow’s strike, voted overwhelmingly by staff, is a key part of the campaign for a more transparent, predictable, participatory and fair system to determine pay and conditions.
For G staff this means refusing attempts to increase the weighting of local government in your salary calculations, which would have the effect of bringing down your pay.
For P staff (and above grades) this means refusing a planned 5 percent pay cut based on erroneous calculations and incorrect methodology, as well as pay cuts for staff with working spouses and children, pay cuts for children with disabilities, and reduced step frequency.
Why a second day of strike?
We note that as of today, while the ICSC (currently in session in New York) has accepted to hear staff concerns – which was possible thanks to your participation on the first day of the strike – it has yet to take a decision to reverse the pay cuts resulting from the 2016 cost of living survey. This is why we, along with other staff unions in Geneva, believe a second day of strike is vital, and staff of agencies across Geneva have been balloted.
Do you have the right to strike?
As you will have seen from the recent broadcast, the Secretary-General’s office has confirmed strikes as being in line with international customary law (https://www.un.org/press/en/2018/db180316.doc.htm). To date, no staff member has reported retaliatory measures from taking part in last Friday’s strike.
How will your participation in the strike be recorded?
Some of you have approached us to ask how Administration will deal with absences in the event of a strike. Administration has indicated that absences will be recorded. However, it is not clear how absences will be noted, what cooperation is required of supervisors and whether recording of absence absolves a staff member from having to catch up with later with the work not performed. Further, there are issues with Umoja – we will let administration inform you on this point. In addition, the instructions on recording absences come from administration in New York. We note that because of a minor snowfall, which would have had no impact in Geneva, much of that same administration in New York did not come to work yesterday.
What is next?
Next actions will depend on the ICSC’s decision by the end of its current session. This will determine what actions you would like us to take.
We would like to share with you photos from the strike by Bangkok’s staff on Wednesday and the New York staff protest on Monday as part of the overall action against the ICSC (http://www.ccisua.org/2018/02/27/first-global-day-of-action-live-timeline-updates).
Thank you for your support and in solidarity.
In solidarity.
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Suite aux derniers broadcasts que nous avons envoyés, nous aimerions vous confirmer que le deuxième jour de grève aura lieu demain, le vendredi 23 mars.
Nous vous invitons à nous joindre en grand nombre à :
- Piquets de grève entre 8 et 10 heures aux portes de Pregny, Chemin de fer et Nations.
- Un rassemblement qui aura lieu à 10 heures autour du Globe Céleste.
- Une réunion à 14 heures à la salle 18. Lors de cette réunion des mises à jour seront fournies à propos de la session de la CFPI à New York (voir ci-dessous). Du café et du thé vous seront offerts.
Cette grève qui a été décidée par une majorité écrasante, constitue une étape essentielle de notre campagne en vue d’un système plus transparent, participatoire, équitable et juste pour déterminer notre salaire et nos conditions de service.
Pour les collègues des services généraux (G), cela signifie refuser l’augmentation du poids des salaires des gouvernements locaux dans le calcul de leur rémunération.
Pour les collègues de la catégorie P et au-delà, cela signifie refuser les coupes de salaire de 5%, coupes basées sur des erreurs de calcul et sur une manipulation de la méthodologie. A ces coupes viennent s’ajouter celles en lien avec les conjoints qui travaillent, les enfants, les enfants handicapés et l’octroi moins fréquent d’échelons.
Pourquoi un deuxième jour de grève ?
Nous notons qu’au jour d’aujourd’hui, la CFPI n’a toujours pas accepté de prendre une décision pour inverser les coupes. Tout ce qu’elle a accepté c’est de prêter une oreille attentive à nos inquiétudes. Et si cela a été possible c’est grâce à votre participation au premier jour de grève. C’est pourquoi nous, avec d’autres syndicats du personnel à Genève, croyons qu’une deuxième journée de grève est importante tout en sachant que d’autres institutions à Genève ont déjà mené des consultations concernant l’organisation d’une éventuelle grève.
Avez-vous le droit de faire la grève ?
Comme vous l’aurez vu du broadcast récent, le bureau du Secrétaire général a confirmé que la grève est conforme au droit international coutumier et nous notons qu’à cette date aucun fonctionnaire n’a reporté des mesures de représailles prises contre lui du fait de sa participation à la grève. (https://www.un.org/press/en/2018/db180316.doc.htm)
Comment votre participation à la grève sera-t-elle enregistrée ?
Certains d’entre vous nous ont approchés concernant la manière avec laquelle l’Administration traitera les absences en cas de grève. L’Administration a indiqué que les absences seront enregistrées. Cependant, nous ignorons comment les absences seront enregistrées, quelle coopération est requise des superviseurs, et si l’enregistrement de l’absence permet d’éviter à un membre du personnel de rattraper le retard. De plus, il y a des problèmes avec Umoja (nous laisserons le soin à l’Administration de vous éclairer sur ce point). En outre, les instructions sur l’enregistrement des absences proviennent de l’Administration à New York. Nous notons qu’en raison d’une chute de neige mineure, qui n’aurait eu aucun impact à Genève, une grande partie de cette même administration à New York n’est pas venue travailler hier.
Qu’allons-nous faire ensuite ?
Les prochaines actions dépendront de la décision de la CFPI avant la fin de la session en cours. Cela déterminera les futures actions que nous déciderons avec vous.
Nous aimerions partager avec vous quelques photos de la grève qui a eu lieu mercredi à Bangkok et de la manifestation qui a eu lieu à New York dans le cadre de l’action globale contre la CFPI (http://www.ccisua.org/2018/02/27/first-global-day-of-action-live-timeline-updates).
Merci de votre soutien et restons solidaires.
Restons solidaires.