Last year, with your support, we fought against the ICSC pay cut of 7.7 percent for P and D staff. The ICSC agreed to a mitigation buffer of 3 percent and to delaying the implementation so as to integrate January’s 2.4 percent pay rise for US civil servants. With the US pay rise less than originally expected, this would have led to a final cut in the region of 2 to 3 percent, which we were prepared to legally challenge. It was also agreed that the post adjustment system would be reviewed to integrate our concerns.
We have now been informed that the ICSC intends to introduce a cut of around 5.1 percent, although the ICSC has so far been unable to confirm the exact amount.
We further understand that this cut will be composed of a 3.5 percent cut this month, with the balance in June.
This breaches both the ICSC’s undertaking to organizations and staff last July and its own rules that no cut in any month not be greater than 3 percent.
This move by the ICSC is both unexpected and unprecedented. We raised it with Secretary-General Guterres in New York on Tuesday.
We are organizing an emergency staff meeting this Monday at 1 p.m. in Room XVIII.
Your presence in large numbers at this meeting is essential in order to decide on the next, fundamental steps, including collective action.
The continued attacks on the conditions of employment of United Nations staff members (a cut of 13.2 percent is planned for Bangkok) are no longer acceptable and the repeated manipulation of facts by the ICSC is a disgrace to the entire system.
We cannot allow the ICSC to renege on its commitment. We must hold it to its word. Our response must be in line with the severity of this act. We need to stand united and speak with a clear and loud voice: no pay cut!
L’année dernière, avec votre soutien, nous avons lutté contre la décision de la CFPI de couper les salaires des fonctionnaires des catégories P et D de 7,7%. La CFPI avait approuvé une mesure d’atténuation de 3% et décidé de reporter l’introduction des coupes de sorte à intégrer l’augmentation de salaire des fonctionnaires de la fonction publique américaine qui fut de 2,4% en janvier. Avec cette augmentation inférieure à ce qui était prévu, les coupes finales auraient dues être entre 2 et 3 % et nous étions prêts à les contester légalement. Il a aussi été décidé de revoir le système d’ajustement afin de prendre en compte nos préoccupations.
Nous avons été récemment informés que la CFPI a décidé d’introduire des coupes d’environ 5,1%, sans pour autant que la Commission confirme le pourcentage exact.
Ces coupes seront de 3,5% en février et le reste sera introduit en juin.
La décision de la CFPI est en violation de l’engagement qu’elle avait pris vis-à-vis les organisations et le personnel en juillet et de ses propres règles qui interdisent des coupes mensuelles au-delà de 3%.
Cette décision de la CFPI est inattendue et sans précédent. Nous avons soulevé cette question avec le Secrétaire général que nous avons rencontré mardi à New York.
Nous organisons une réunion d’urgence prévue pour le lundi à 13 heures à la sale XVIII.
Votre présence en grand nombre est importante afin de décider des mesures à adopter, y compris toute action collective à prévoir.
Les attaques continues contre les conditions de travail des fonctionnaires de l’ONU (des coupes de 13,2% sont prévues à Bangkok) ne sont plus acceptables et les manipulations qu’opère la CFPI de manière répétée jettent le discrédit sur le système tout entier.
Nous ne pouvons pas permettre à la CFPI de revenir sur son engagement. La CFPI doit honorer son engagement. Notre réaction doit être à la hauteur de la gravité de cette décision. Nous devons restés unis et dire haut et fort : non aux coupes salariales.