You may recall that the as part of the 2009 human resources reforms, the General Assembly authorized the organization to issue fixed-term contracts of up to five years for staff who have five years of continuous service and meet straightforward standard conditions. Following our intervention, this was integrated into an administrative instruction.
The rationale for five-year contracts was to provide stability, improve workforce planning, and reduce administrative costs for administering long-serving staff that did not yet meet the conditions to have a continuing appointment.
We therefore regret that certain departments have decided to limit renewals for long-serving staff to two years and in some cases one-year. We understand that this is being done for the sole purpose of avoiding payment of termination indemnity should there be a downsizing and posts abolished.
We are disappointed by this turn of events.
We believe that termination indemnity can provide an important substitute for unemployment benefit, and as a responsible employer the UN should not shirk its social responsibilities. Further, a downsizing policy that was negotiated with administration, although not formally implemented, has to-date helped avoid job losses in core activities. Shorter extensions also mean shorter legitimation cards, which in turn can play havoc with the private lives of staff members, particularly those from the global south.
We understand the stress this can cause and we are advocating with management in New York to reverse this trend. We will keep you updated.
Vous n’êtes pas sans savoir que, dans le contexte des réformes des Ressources humaines menées en 2009, l’Assemblée générale a autorisé l’Organisation à émettre des contrats allant jusqu’à 5 ans pour les fonctionnaires ayant cinq ans de service continu et respectant certaines conditions préétablies. Suite à nos efforts, cela fut l’objet d’une instruction administrative.
L’octroi de contrats de cinq ans visait à garantir la stabilité de l’emploi, l’amélioration de la planification des effectifs et la réduction des coûts administratifs pour la gestion des contrats des fonctionnaires qui ont plusieurs années de service à leur crédit et qui ne sont pas éligibles pour l’obtention de contrats continus.
Par conséquent, nous regrettons que certains départements aient décidé de limiter la période de renouvellement des contrats à deux ans et parfois à un an. Pour nous, si cette pratique a maintenant sa place, c’est parce qu’elle permet à l’Organisation d’éviter de payer des indemnités de fin de service en cas de réduction des effectifs ou d’abolition de postes.
Il va sans dire que nous sommes déçus de cette situation.
Nous estimons que l’indemnité de fin de service pourrait se substituer aux indemnités de chômage et si l’ONU se veut être un employeur responsable, elle ne devra pas se dérober de ses responsabilités sociales. De plus, une politique relative aux réductions des effectifs a été négociée avec l’Administration et même si elle n’est pas encore entrée en vigueur, elle a permis jusque-là d’éviter l’abolition de postes dans certains domaines clés. Par ailleurs, le raccourcissement de la durée des contrats signifie l’octroi de cartes de légitimation pour une période plus courte, ce qui a un impact négatif sur la vie privée des fonctionnaires, et surtout pour ceux venant du sud.
Cette situation est une source de stress pour les fonctionnaires concernés et nous nous efforçons de convaincre l’Administration à New York d’inverser cette tendance. Nous vous tiendrons informés de la suite qui sera donnée à cette question.