As you may have read in the press, the General Assembly Fifth Committee on Tuesday defeated a proposal, by 80 votes to 43, to remove benefits for same-sex married partners. Had it passed it would have created two classes of staff (those whose spouses can receive benefits and those whose spouses can’t) and set a precedent of countries micro-managing the Secretary-General on administrative matters.
The outcome (full breakdown here: https://www.facebook.com/unstaffunions) is the result of extensive lobbying by governments, management, UN Globe and staff unions.
We naturally welcome this result. The UN advocates for human rights around the world and it’s quite right therefore that it should not pay benefits to staff according to their sexual orientation. We’re glad that after three months of uncertainty on how the vote would go, common sense prevailed.
Comme vous avez dû l’apprendre à travers la presse, la Cinquième commission de l’Assemblée Générale a rejeté mardi une proposition visant à supprimer les bénéfices dont peuvent jouir les partenaires du même sexe liés par un contrat de mariage. Ce rejet s’est fait à travers un vote (80 voix contre et 43 voix pour). Il est à noter que si cette proposition était passée, on se serait retrouvé face à deux catégories de fonctionnaires (ceux dont les conjoints peuvent recevoir des bénéfices et ceux dont les conjoints ne peuvent pas en recevoir) et à un précédent où les pays feraient de la micro-gestion dans les affaires administratives qui sont du ressort du Secrétaire-Général.
Le résultat atteint est le fruit d’une vaste campagne de pression menée par les gouvernements, l’Administration, UN Globe et les syndicats (Pour plus de détails, prière de se rendre au lien suivant : https://www.facebook.com/unstaffunions).
Il est sûr que nous nous réjouissons de ce résultat. Les Nations Unies défendent les droits de l’homme dans le monde et partant de là, il est inconcevable d’octroyer des bénéfices aux fonctionnaires selon leur orientation sexuelle. Nous nous félicitions du fait que c’est la logique qui a prévalu après trois mois de doutes quant au résultat du vote.